2022-01-4 Gouverneur de Hokkaido

Ceci est la traduction de la partie déclaration de la conférence de presse du gouverneur d’Hokkaido suite à la confirmation de cas de variant omicron dans la préfecture.

Le cas de variant omicron qui y a été détecté n’est pas un cas d’infection communautaire. Pour le moment, la situation est sous contrôle. Néanmoins, comme toujours, il est recommandé de suivre les mesures de prévention des épidémies.

Gouverneur d’Hokkaido

Bonne année et merci de vous être réunis malgré le manque de préavis.

Aujourd’hui, une personne est confirmée infectée par le variant omicron dans la ville de Sapporo. Il s’agit du premier cas confirmé de ce variant à Hokkaido. Cette personne vit dans le Kansai. Il a la quarantaine. Il se trouve à Sapporo à l’occasion de retour dans la maison familiale.

Ci-dessous les détails.

Il est arrivé dans la préfecture le 27 décembre. Par la suite, lui et une autre personne se sont trouvées positives pour le nouveau coronavirus. Lui a attrapé le variant omicron, et nous avons contacté l’autre personne parce qu’elle était cas contact. Après un test de dépistage, nous avons confirmé qu’elle était positive. En ce moment, nous vérifions si elle est positive.

Quand c’est ainsi, nous commençons par vérifier si elle est positive pour le variant delta. Si ce n’est pas le cas, nous analysons le génome. Pour la personne infectée, c’est ce qui s’est passé, et cela nous a mené à aujourd’hui. Nous savons ainsi qu’il s’agit du variant omicron.

Selon les études épidémiologiques menées à Sapporo, cette personne n’a apparemment rencontré aucune personne que l’on ne pourrait pas identifier et ne s’est pas mêlée à la foule.

Son cas contact a pris le même avion pendant le retour au pays. Aussi, une partie des personnes qui étaient dans l’avion avec ce cas contact sont à leur tour cas contacts. Ensuite, la famille de ces personnes infectées est aussi cas contact. Nous pouvons donc identifier ces personnes. Les cas contacts se trouvent toutes dans la préfecture, soit à Sapporo, soit dans une région de la juridiction de la préfecture. Toutes ont déjà effectué un test PCR. Nous avons confirmé qu’ils sont, en principe, négatifs.

Par contre, il faut les mettre en observation.

Ensuite, la personne positive avec le variant omicron souffre de symptômes bénins. Il est néanmoins hospitalisé. C’est le mode de fonctionnement.

Pour ce qui est de l’autre personne (cas contact), on a fait un test PCR, qui sort négatif. Elle est néanmoins dans un établissement d’hébergement pour la mise en observation, parce que l’on doit ainsi faire.

La préfecture va continuer à rester vigilant à propos du variant omicron. Par conséquent, les personnes qui se sont rendues à l’étranger, ou pour lesquelles on ne connait pas la source des infections, nous continuerons à vérifier s’il s’agit de cas delta. Si cela n’est pas le cas, nous effectuerons une analyse du génome.

Lorsqu’on identifiera de cas d’infections communautaires, l’État a déjà négocié que nous fassions des tests de dépistage gratuits. Cette fois, il ne s’agit pas de cas d’infection communautaire. Par conséquent, pour le moment, nous effectuons toujours un screening pour savoir s’il s’agit du variant omicron.

Je souhaite organiser correctement une aide pour avancer les dates de vaccination et pour la distribution des médicaments à prendre par voie orale.

En ce qui concerne le variant omicron, la contagiosité est considérée forte. En revanche, le mesures de prévention de base sont les mêmes. Tout le monde le fait déjà, mais il convient de continuer à éviter les « Trois F », porter un masque, se désinfecter les mains, aérer. Nous souhaitons que chacun les applique rigoureusement et avec plus de vigilance.

Par contre, nous pensons qu’il est nécessaire de gérer la situation calmement. Après le nouvel An, les situations de boire et manger vont être plus nombreuses. Le risque d’infection va donc nécessairement augmenter. Nous recommandons de choisir les établissements de restauration qui appliquent rigoureusement les mesures de prévention. Veuillez limiter le temps que vous y passez, ne pas lever la voix, ne pas partager les verres, lorsque les conversations vont bon train, porter un masque. Tout le monde le fait déjà bien, mais avec le variant omicron, nous devons demander à tous de continuer pendant ce début d’année.

Ensuite, si vous ne vous sentez pas bien, évitez de sortir. Selon les besoins, il est essentiel de passer un test de dépistage.

Je vous remercie pour votre coopération.

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