Changement des niveaux de risque et conséquences aux frontières
Depuis le 29 avril 2023 à 0:00, il n’est plus nécessaire de présenter un certificat de test PCR ou un certificat de vaccination.
Rappel : Tous les ressortissants étrangers peuvent demander à entrer au Japon. Les touristes peuvent se présenter directement aux frontières.
Ce document ne représente plus la situation actuelle. Il reste sur le site pour les personnes qui souhaitent s’en souvenir.
Le titre original du document est 感染症危険情報の変更及びそれに伴う水際措置等手続の変更について, qui se trouve sur la page du Ministère japonais des Affaires Étrangères.
Amis lecteurs, pardonnez ce petit avertissement écrit en pensant à votre sécurité.
Comme c’est le cas pour tous les articles publiés sur cette page, Infos Locales au Japon a pour but de faciliter la compréhension des mesures, mais ne peut pas vous garantir que sa traduction est sans erreurs. Ces traductions sont fournies sans garantie de résultats. Les textes et les dates changent en permanence, surtout en ce moment. Cela signifie qu’il faut aller vérifier l’information à la source. Les liens sont mis dans le texte ci-dessous ou en début de l’article. Dans le cas présent, il s’agit des
– services de l’immigration japonaise et du ministère de la Justice.
– Organisme national du Tourisme.
– D’un organisme étranger officiel.
Pour les articles qui touchent à l’immigration, Infos Locales au Japon s’excuse d’insister. Il faut absolument contacter les bureaux de l’immigration et/ou l’Ambassade du Japon dans le pays dans lequel vous vous trouvez, ou un spécialiste de ces questions pour vérifier votre statut et que les conditions s’appliquent dans votre cas.
Mesures aux frontières et informations sur les risques infectieux
Catégorie | Mesures aux frontières | |||||
Obtenir un certificat de dépistage avant de partir vers le Japon | Test de dépistage à l'entrée au Japon | Quatorzaine | Ne pas utiliser les transports en commun | |||
Niveau 3 | Birmanie, Jordanie, et 152 autres régions et pays | Japonais : X Étrangers : O | ||||
(Note1) | ||||||
Niveau 2 | Corée du Sud, Singapour, Thaïlande, Taiwan, Chine, Brunei, Vietnam, Australie, Nouvelle Zélande et tous les pays qui ne sont pas de niveau 3 | |||||
(Note2) |
La version originale du tableau se trouve ici : page en japonais du ministère des Affaires Étrangères.
Le 30 octobre 2020, le Ministère des Affaires Étrangères a annoncé un passage de niveau 3 à 2 du risque infectieux pour 9 pays et régions se trouvant dans la liste des informations sur le niveau de risque lié aux maladies infectieuses. En outre, il a fait passer deux pays du niveau 2 à 3 en matière de risque lié aux virus.
- Diminution du niveau de risque infectieux sur la liste des informations sur le niveau de risque lié aux maladies infectieuses (passage de niveau 3 à 2). (9 pays / régions)
(Asie) | Corée du Sud, Singapour, Thaïlande, Taiwan, Chine (y compris Hong Kong et Macao), Brunei, Vietnam. |
(Océan Pacifique) | Australie, Nouvelle Zélande |
- Augmentation du niveau de risque infectieux sur la liste des informations sur le niveau de risque lié aux maladies infectieuses (passage de niveau 2 à 3). (2 pays)
(Asie) | Birmanie |
(Océan Pacifique) | Jordanie |
2. Faisant suite à la publication par les quartiers généraux de lutte contre le nouveau coronavirus, la baisse à un niveau 2 sur la liste des informations sur le niveau de danger lié aux maladies infectieuses s’accompagne d’une radiation de ces 9 pays / régions sur la liste des pays faisant l’objet de refus d’entrée au Japon. Pour ces pays / régions, les mesures aux frontières changent au moment de l’entrée ou du retour au Japon. Les changements sont définis comme suit.
(1) Les examens de dépistage du nouveau coronavirus, qui étaient nécessaires au moment de l’entrée au Japon jusqu’à présent ne le sont en principe plus lorsqu’on rentre ou arrive au Japon depuis ces régions. Cela est vrai quelle que soit la nationalité.
(2) Dans le cas des ressortissants étrangers qui souhaitent revenir au Japon ou y entrer nouvellement, il n’est en principe plus nécessaire de soumettre un certificat de test de dépistage du nouveau coronavirus dans les 72 heures précédant le départ du pays concerné (sauf pour les bénéficiaires des programmes Business Track et « Voyage d’affaires de courte durée pour les professionnels vivant au Japon 日本在住ビジネスパーソンの短期出張 »).
(3) Les démarches concernant le Business Track qui était déjà opérationnel pour la Corée du Sud et pour Singapour changent également lors du retour ou de l’entrée au Japon.
- En principe, tous les utilisateurs du Business Track doivent se soumettre à un test de dépistage du nouveau coronavirus fait dans les 72 heures précédant leur départ vers le Japon, obtenir un certificat de « négativité » auprès de l’établissement médical, et le présenter, avec une déclaration sur l’honneur à l’officier de l’immigration au moment de l’entrée au Japon. En revanche, les personnes qui vivent au Japon et font un séjour à l’étranger pour une durée inférieure à 7 jours peuvent, au lieu de obtenir ce certificat de tests de dépistage, se faire tester une fois rentrées au Japon. Dans ce cas, le test de dépistage doit se faire dans un établissement médical japonais, et est payant. (Il faut rester chez soi ou en confinement etc. jusqu’à ce qu’un médecin confirme les résultats de « négativité » .)
- En principe, les examens de dépistage du nouveau coronavirus à l’arrivée dans un aéroport du Japon sont inutiles.
(Note) Les personnes qui se sont rendues en Corée du Sud ou à Singapour, qui, dans le cadre du programme Business Track, reviennent au Japon après y être restées pendant une période inférieure ou égale à 14 jours peuvent, si elles n’ont pas pu obtenir, avant de partir, un certificat de test de dépistage, pourront jusqu’au 14 novembre 2020, se faire tester pour le nouveau coronavirus à l’aéroport au Japon, au lieu de présenter un certificat de test de dépistage.
3. Faisant suite à la publication par les quartiers généraux de lutte contre le nouveau coronavirus, le passage à un niveau 3 sur la liste des informations sur le niveau de danger lié aux maladies infectieuses, la Birmanie et la Jordanie figurent aussi sur la liste des régions qui font l’objet d’un refus d’entrée au Japon. En conséquence, à compter du 1er novembre 2020, les mesures aux frontières pour l’entrée ou le retour au Japon sont renforcées comme suit.
(1) Tous les passagers entrant au Japon, y compris les ressortissants japonais, doivent se soumettre à un test de dépistage du nouveau coronavirus.
(2) En outre, les ressortissants étrangers en provenance de ces deux pays se voient en principe refuser l’entrée dans le pays. Toutefois, s’ils peuvent entrer ou ré-entrer au Japon pour des raisons particulières, ils doivent maintenant produire, au moment de l’entrée au Japon, un certificat de test de dépistage du nouveau coronavirus fait dans les 72 heures précédant le départ pour le Japon. À partir du 15 novembre 2020, s’ils ne produisent pas le certificat de test de dépistage nécessaire au moment de l’entrée au Japon, ils se verront refusés l’entrée sur le territoire.