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Comme toujours, Infos Locales au Japon et Infos Kyushu mettent ces documents à titre d’information. Nous pouvons avoir mal compris ou traduit l'information, ou celle-ci peut avoir évolué depuis l'écriture de cet article. Nous mettons également à jour nos articles si la situation le demande, mais cela peut parfois prendre du temps. Cette page encourage donc chacun à vérifier les informations à la source, et de se tenir régulièrement informés par NHK Japon ou NHK World.

En cas d'urgence médicale

En cas d'urgence non-COVID

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Numéros de téléphone en cas d'urgence (non COVID). Ce document contient aussi les informations pour contacter une ambassade etc. en urgence.

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Archives – Directives relatives à la gestion de l’entrée des touristes étrangers

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Sommaire

(2) Gestion (des cas positifs et cas contacts) pendant le tour

  • Si un des participants au tour devient symptomatique, l’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage ou le voyagiste doit l’extraire du tour rapidement, et prendre les mesures nécessaires pour prévenir les infections à d’autres participants.
  • L’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage ou le voyagiste doit rapidement envoyer la personne symptomatique dans un établissement médical. Pour cela, il leur faut conformément agir à la politique (etc.) de consultation médicale établie par les autorités locales, lorsque la condition du participant correspond aux critères suivants. Le cas échéant, ceux-ci doivent suivre les consignes des établissements médicaux et des services de santé publique (hokenjos), etc. et fournir un interprète médical spécialisé quand c’est nécessaire.

(Par ailleurs, si un de ces établissements demande de fournir des coordonnées en cas d’urgence, le participant au voyage organisé doit non seulement inscrire ses propres coordonnées, mais encore inclure le numéro de téléphone portable du voyagiste, et le numéro de téléphone du responsable de l’agence de voyage ou du prestataire de services de voyage).

Pour référence : ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, « À l’attention de la population (Nouveau coronavirus) » (extrait) .

国民の皆さまへ (新型コロナウイルス感染症) Les personnes qui présentent l’un des symptômes suivants, sont invitées à consulter/visiter le « centre de consultation des rapatriés et cas contacts ». ○ Contacter immédiatement le centre si vous correspondez aux critères suivants. (Il est possible de contacter le centre même lorsque les symptômes sont différents).
    ☆ Lorsqu’on éprouve un des symptômes suivants : essoufflement (dyspnée), forte léthargie (fatigue), fièvre élevée, etc. ☆ Lorsqu’on est facilement susceptible d’aggravation des symptômes (※), et que l’on éprouve de la fièvre, tousse ou tout autre symptôme qui fait penser à un rhume relativement léger. (※) Personnes âgées, personnes souffrant de conditions préexistantes telles que le diabète, une insuffisance cardiaque, des maladies respiratoires (par exemple, la BPCO), les personnes sous dialyse, les personnes utilisant des médicaments immunosuppresseurs ou des médicaments anticancéreux, etc. ☆ Outre les symptômes mentionnés ci-dessus, lorsque des personnes éprouvent des symptômes relativement légers de rhume, tels que de la fièvre ou une toux persistante.
(Toujours consulter si les symptômes durent depuis au moins quatre jours. Les symptômes varient d'une personne à l'autre, donc si vous pensez avoir des symptômes importants, veuillez consulter immédiatement. Il en va de même pour ceux qui doivent continuer à prendre des antipyrétiques, etc.)
  • En cas de personnes positives pour la COVID-19, l’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage doit se référer au journal des activités défini dans le point 2.(5) et identifier de manière appropriée les personnes susceptibles d’être cas contact selon les niveaux de risques, conformément à la politique des gouvernements locaux. Il doit coopérer en toute bonne foi lorsque les autorités sanitaires demandent de fournir des informations.

Pour référence : publication du Centre d’études épidémiologiques sur les maladies infectieuses, de l’Institut National des Maladies Infectieuses (du 8 janvier 2021) « Guidelines for conducting active epidemiological surveillance of patients with novel coronavirus infection » (extrait).

On appelle « cas contact » les personnes qui répondent aux critères ci-dessous, alors qu’elles se trouvent parmi les personnes qui ont été en contact avec des « patients (cas confirmés) » (y compris ceux qui sont « porteurs asymptomatiques d’agents pathogènes » (même définition ci-dessous)) entre le moment où ces patients étaient devenus potentiellement contagieux et celui où ils se sont fait hospitaliser ou ont été placés en observation dans un établissement d’hébergement ou à domicile. Il s'agit des personnes qui
  • Vivent avec, ou ont été en contact pendant une longue durée, avec un patient (cas confirmé) (y compris dans une voiture, un avion, etc.)
  • ont examiné, soigné ou pris soin d’un patient (cas confirmé) sans protection adéquate contre les infections.
  • ont un fort risque d’avoir été en contact direct avec des contaminants tels que les sécrétions des voies respiratoires ou des liquides organiques d’un patient (cas confirmé).
  • Autres : les personnes qui se sont trouvées à une distance permettant de toucher un patient (cas confirmé) de la main (environ 1 m) pendant une durée de 15 minutes ou plus, alors qu’elles n’appliquaient pas les mesures nécessaires de prévention des infections. (Dans ces cas, l'infectivité du patient est jugée de manière globale à partir des circonstances individuelles, y compris l'environnement et les circonstances du contact.)

Pour référence : « Sur la fourniture d’informations (etc.) concernant les cas contacts à bord des avions durant les vols internationaux » (extrait)

(Circulaire du 28 décembre 2021 du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, révisée partiellement le 29 mars 2022)
2. Suivi sanitaire (etc.) des cas contact du même vol
(1) Vérification, communication et gestion nécessaire des cas contacts d’un même vol
La gestion des cas contacts d’un même vol doit se fonder sur la situation infectieuse liée au variant Omicron dans et hors du pays. Seuls les membres de la famille accompagnant la personne dont le test est positif (ci-après dénommés « membres de la famille en vol ») seront traités comme des cas contacts. (...)
(2) Période de mise en confinement pour les cas contacts d’un même vol
Indépendamment de la gestion du point (1), la durée du confinement à domicile (ou dans un lieu équivalent) des membres de la famille en vol qui sont cas contacts avait été uniformément fixée à sept jours. Néanmoins, la gestion qui fait suite au changement de la définition des cas contact d’un même vol du point 2.(1) est la suivante. En principe, la période de confinement à domicile (ou dans un lieu équivalent) est de sept jours. Cependant, si les tests de dépistage par kit de dépistage qualitatif d’antigènes effectués le jour de l'entrée au Japon (jour 0), et des quatrième et cinquième jours s’avèrent négatifs et si les résultats sont saisis dans une application pour confirmer l'état de santé et la localisation des entrants au Japon (MySOS), les membres de la famille en vol pourront mettre fin à leur confinement le cinquième jour. En revanche, même dans ce cas, ces personnes doivent continuer à surveiller leur état de santé, y compris leur température pendant 10 jours, et appliquer les mesures de contrôle du virus, y compris en portant un masque (etc.) et en évitant d’utiliser des lieux à fort risque d’infection ou de participer à des repas et pots (etc.),

Pour référence : ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, « Circulaire concernant l’identification des cas contacts » (extrait)

(Publié le 16 mars 2022, révisé partiellement le 22 mars 2022) https://www.mhlw.go.jp/content/000916891.pdf (URL de la circulaire susmentionnée) Liste des informations à destination des gouvernements locaux et des établissements médicaux (Circulaires) (pour le nouveau coronavirus). 2022 | ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales 自治体・医療機関向けの情報一覧(事務連絡等)(新型コロナウイルス感染症)2022年
(2) En cas d’infection sur le lieu de travail (etc.)
b. Gestion spécifique
  • Les centres sanitaires n’ont pas systématiquement besoin d’effectuer de manière uniforme (sur tous sans discrimination) des enquêtes épidémiologiques actives ou d’identification et restreindre les activités des cas contacts. C’est pour cela que l’on n’est pas forcément soumis à des tests de dépistage administratifs.
  • En revanche, les services de santé publique (etc.) peuvent être amenés à effectuer des tests de dépistage s’ils estiment qu’il faut des mesures supplémentaires contre les infections. Par exemple, ils le demanderont et pourraient mettre en œuvre un appel à la coopération pour lutter contre les infections lorsque le virus apparaît simultanément chez un grand nombre de personnes, lorsque les enquêtes sur la situation révèlent une possible de propagation du virus, ou lorsqu'il y a un risque élevé d'infection. Cela pourrait être, par exemple, parce que l'on mange ou boit ensemble sans appliquer les contre-mesures de base de prévention des virus, etc.
  • Compte tenu de ce qui précède, en cas d’apparition de cas d’infection, il est demandé aux habitants et aux entreprises d’appliquer rigoureusement et spontanément les mesures contre les infections selon les circonstances, et de communiquer pleinement sur les points suivants.
    • ➢ Toute la famille n’a pas besoin de limiter ses sorties, y compris pour aller au travail, sur la simple raison que l’on a eu un contact avec une personne infectée dans un lieu en dehors du foyer, tel que le lieu de travail.
    • Les responsables d’entreprises (etc.) doivent informer les personnes du lieu de travail qui ont été en contact (※) avec des patients infectés dans leurs locaux (etc.) qu’elles doivent s’abstenir tout comportement à risque élevé d’infection, pendant une durée déterminée à partir du dernier jour de leur rencontre avec ce patient (environ sept jours). Cela signifie qu’elles doivent s’abstenir de se mettre en contact avec des personnes à risque important, ou de visiter des installations à risque important, éviter de participer à des repas et pots qui rassemblent un nombre important de personnes que l'on ne peut pas identifier ou à des événements de grande envergure, etc. En outre, si elles éprouvent des symptômes, il faut les encourager à consulter un médecin dans un établissement médical au plus tôt.
    • Parmi les personnes qui ont été en contact (※) avec des patients infectés sur le lieu de travail (etc.), celles qui ne portaient pas de masque pendant les conversations ou ne suivaient pas les mesures contre les infections pendant les repas et pots, etc. doivent appliquer des mesures de prévention de la propagation des infections telles que s’abstenir de sortir pendant une durée déterminée (par exemple, se mettre en confinement pendant cinq jours et se soumettre volontairement à des tests de dépistage).
  • Selon des facteurs tels que la situation infectieuse, il convient généralement de surveiller spontanément son état de santé, y compris sa température, etc., de porter un masque, d’éviter de visiter des installations à risque ou de rencontrer des personnes à risque, d’éviter d’utiliser les endroits à haut risque d’infection et de s’abstenir de manger avec d’autres personnes, etc.
※ Contacts pendant la période durant laquelle un patient a pu être infecté (à partir de deux jours avant la déclaration de la maladie), selon les « Directives de mise en œuvre des enquêtes épidémiologiques actives pour les patients atteints de nouveau coronavirus » (de l’Institut National des Maladies Infectieuses). (...)
(5) Dans le cas d’infections groupées (clusters)
a. Principe de base
Dans les cas où une infection collective de cinq personnes ou plus se produit simultanément dans un établissement commercial, etc., les spécialistes doivent soupçonner la présence d'un facteur de propagation du virus dans un espace limité, et l'intervention précoce du service de santé publique devrait permettre d’en prévenir la propagation dans une certaine mesure.
b. Gestion spécifique
  • Comme par le passé, les préfectures (etc.) peuvent décider de mener des enquêtes épidémiologiques actives en fonction de la situation infectieuse, et demander l'identification et les restrictions d’activités des cas contacts.
  • La période de confinement pour les cas contacts identifiés doit être déterminée individuellement sur la base des facteurs considérés comme des causes possibles de propagation de l'infection, en se référant aux règles de gestions indiquées dans les points (1) à (4) b.
  • Bien que ces endroits ne relèvent pas du point (3), en cas d'infection dans un lieu où l'on peut s'attendre à une propagation des infections parmi des personnes à haut risque, comme les établissements de soins de jour, les centres de visite à domicile pour les personnes âgées et les enfants handicapés, il convient de gérer la situation avec toute la prudence requise, afin d’empêcher toute propagation plus importante du virus.
  • Durant la phase préliminaire d'identification d'un cluster, les centres de santé doivent partager les informations avec les départements de contrôle des infections du siège du gouvernement local et assurer la collaboration avec le groupe de travail sur les clusters du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales et le programme de formation en épidémiologie de terrain (FETP) de l'Institut national des maladies infectieuses pour leur permettre de fournir un soutien consultatif au gouvernement local.

Assistance aux personnes
infectées et aux cas contacts

  • Pendant la période de mise en observation sanitaire des personnes positives et des cas contacts, l’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage doit fournir l’assistance nécessaire, y compris en surveillant leur état de santé et en mettant des repas à leur disposition. Il convient de noter que dans certains cas, on pourra leur demander de prolonger leur période de séjour.
  • L’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage et le voyagiste doivent fournir l’assistance nécessaire afin de faciliter la communication des personnes positives avec les centres de santé publique (hokenjos). Outre les contacts téléphoniques avec les centres de santé, etc., les personnes qui testent positif ont pour consignes de suivre les instructions lorsque le système My HER-SYS ※3 / d’appels automatisés ※4 (My HER-SYS・自動架電) les contacte.

※ Les appels automatisés de My HER-SYS・自動架電 sont conduits en chinois, en coréen, en anglais, en portugais et en espagnol.

  • L’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage doivent expliquer aux participants au tour qui ne sont pas positifs pour la COVID-19 et qui ne sont pas cas contacts que s’ils souhaitent continuer le voyage, ils le peuvent.
  • Quand un participant devenu cas contact souhaite demander à rentrer chez lui, c’est ce participant au tour qui doit contacter de lui-même l’ambassade de son pays au Japon et obtenir son accord. Ensuite, l’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage doivent consulter les services du gouvernement local dans lequel se trouve cette personne, sécuriser les moyens de transports jusqu’à l’aéroport international de départ et procéder aux ajustements nécessaires avec la compagnie aérienne à utiliser pour le départ du Japon.
  • L’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage doit organiser les services de voyage nécessaires (y compris les tests de dépistage pour raccourcir la période de confinement), afin de garantir que les participants au voyage qui quittent le voyage en raison d’un résultat positif puissent facilement rentrer chez eux à la fin de la période de mise en observation sanitaire.

※3 My HER-SYS: Outil de gestion de la santé qui permet de saisir l’état de santé d’un cas positif ou celui de sa famille avec un téléphone intelligent ou un ordinateur. Les informations saisies dans My HER-SYS sont reflétées et partagées avec le centre de santé compétent pour le lieu d’hébergement.

※4 Appels automatisés : un outil qui lance automatiquement un appel téléphonique chaque jour à une heure prédéfinie par le hokenjo. Il permet de répondre et d’enregistrer son état de santé en appuyant sur un bouton de réponse aux questions.

(3) Gestion après le tour

  • En prévision de l’apparition de personnes positives après la fin du voyage organisé, l’opérateur de voyage ou le prestataire de service de voyage a besoin de conserver pendant une semaine les coordonnées de chaque participant au tour.

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